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26 juin - Journée des doctoriales

Les doctorant.e.s du laboratoire organisent le 26 juin à partir de 9h30 en amphithéâtre Fabre, la journée des doctoriales.

Publiée le

Programme

9h30 Maëlle Tourneur : Présentation de la journée

9h35 Marie-Pierre Chopin : Introduction

9h50 Louise Doglio - doctorante : Point de vue sur un an d'expérimentation d'une Sécurité Sociale de l'Alimentation en Gironde

10h15 Olivier Akhamlich - doctorant : Le postmodernisme dans l’intersectionnalité des mobilisations militantes contemporaines : l’utopie dystopique

10h40 Pause

10h55 Oriane Defourne - doctorante : Aller-vers les adolescentes en Prévention spécialisée : Un début de recherche

11h20 Luc Joanne - doctorant : Utilisation d'un questionnaire de connaissance pour décrire l'espace de position et de diffusion des savoirs dans le champ infirmier

11h45 Léana Valentini - doctorante : Quels outils méthodologiques pour une praticienne-chercheuse ? : doctorante et pédagogue en école de cirque (présentation en distanciel)

12h15 Pause déjeuner

13h45 Manuel Roux - docteur, chercheur associé : Apprendre en marchant, créer en roulant : les itinérance artistiques comme espaces d’expérimentation culturelle et éducative*

14h10 Maritxu Alonso Bustamante – doctorante, chercheure invitée : El punk también es nuestro : Féminismes en transition, une étude de la sous-culture punk en Espagne*

14h35 Clara Feltrin Peyrot - doctorante : Dire, lire, être vues, être lues : les savoirs féministes à l’épreuve des réseaux sociaux*

15h00 Pause

15h15 Baptiste Pointillart - docteur : Quand la culture roule : transitions éducatives dans la scène skate bordelaise*

15h40 Sarah Masanet - doctorante : Collaboration entre clinique et recherche en sciences humaines et sociales : retour d’expérience d’une recherche interdisciplinaire

16h05 Julie Pinsolle - maîtresse de conférences : Analyse de la contribution de la « mise en label » de l'action éducative à la néolibéralisation du travail éducatif : cas des « Cités éducatives »

16h30 Clôture de la journée suivie d’un moment de convivialité autour d’un verre chez Auguste

*Ces recherches s’inscrivent dans le cadre élargi du programme PiND Punk is Not Dead, une histoire de la scène punk en France (1976-2016).